STRIKE ! Trois victoires éclatantes contre l’absurdité réglementaire.


« Il y a des jours où la raison reprend ses droits.
Ce 3 novembre 2025 restera comme celui où la Justice a enfin rappelé à certaines mairies bretonnes qu’un règlement local de publicité n’est pas une arme idéologique, ni un outil de sabotage économique.

Rennes Métropole, Ploemeur, Lanester… Trois communes persuadées d’être investies d’une mission divine : sauver le monde à coups d’interdictions, de contraintes absurdes et de règlements hors-sol.
Trois mairies qui, au lieu d’écouter les acteurs économiques, ont choisi de plomber leurs territoires.

Résultat ?
Trois jugements. Trois claques. Trois STRIKES.

  • À Rennes Métropole, on avait inventé le concept de la publicité fantôme : des formats interdits, des écrans réduits à la taille d’un timbre-poste, et des épaisseurs de dispositifs dignes d’un régime minceur. Le tribunal a tranché : tout cela n’était ni légal, ni raisonnable, ni même crédible.
  • À Ploemeur, on avait décidé qu’un écran dans une vitrine était une menace pour la civilisation. Interdiction totale du numérique ! Résultat : annulation. Le tribunal a rappelé qu’un règlement local n’est pas un champ d’expérimentation pour la décroissance punitive.
  • Quant à Lanester, c’est l’apothéose : une seule zone pour toute la commune, histoire d’interdire tout, partout, tout le temps. Une erreur manifeste d’appréciation, dit le tribunal. Nous, on dira simplement : une absurdité totale.

Des milliers d’euros d’argent public dilapidés, des mois de procédures, tout ça pour imposer des dogmes dépassés et brider ceux qui font vivre l’économie locale.
Heureusement, les juges ont remis les pendules à l’heure : la publicité extérieure n’est pas un crime, la croissance n’est pas une insulte, et la liberté d’entreprendre n’est pas une option.

Ces villes bretonnes sont la triste illustration d’une dérive : au lieu d’encourager l’innovation, on réglemente jusqu’à l’asphyxie ; au lieu de stimuler la croissance, on invente la décroissance punitive.
Une honte pour nos territoires, une gifle pour le bon sens.

Car notre profession, elle, fait vivre la France réelle.
Nous redistribuons la richesse via la TLPE, qui finance directement les communes.
Nous soutenons les acteurs économiques, aidons les associations, les clubs sportifs, les événements culturels.
Nous sommes un média urbain éco-responsable, moderne et ancré dans la vie locale.

Ces trois victoires juridiques sont l’aboutissement d’une lutte acharnée, une lutte que nous n’aurions jamais dû avoir à mener.
Quelle tristesse de devoir se battre simplement pour exister, ici, dans le pays des Droits de l’Homme…
Mais l’essentiel est là :
NOUS AVONS GAGNÉ ! 

En tant que Président du Syndicat National de la Publicité Numérique (SNPN), je salue cette victoire du bon sens, de la liberté et de la raison économique.
Car un territoire qui interdit tout finit par mourir.

Face à ceux qui veulent « sauver le cadre de vie » en éteignant toute lumière, nous répondrons simplement :
 « Le progrès n’a jamais eu peur de briller. »

On continue ! »

Stéphane Frimaudeau.


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