La pub : une « pollution mentale » ? Pendant que l’extrême gauche insulte, les entrepreneurs innovent.


Dans une tribune appelant à « renforcer le nouveau règlement local de publicité du Grand Besançon », des groupuscules écologistes que nous ne citerons pas pour ne pas leur faire de publicité (puisque, justement, ils n’aiment pas ça), ont parlé de la publicité comme d’une « pollution mentale ».

Ce nouveau concept est assez intéressant. Il ajoute au cadre de vie une nouvelle définition qu’il convient donc d’appliquer à tous, y compris à ces groupuscules écologistes. Si la publicité est une pollution mentale, qu’en est-il des groupuscules d’extrême gauche qui font des leçons à tous les Français sans jamais s’appliquer à eux-mêmes les règles auxquelles ils voudraient contraindre les autres ?

Quand des militants font arrêter, par décision de justice, le chantier de l’autoroute A69 (terminée à 80%) et qui a coûté plus de 100 000 euros par jour à l’Etat jusqu’à ce que la Cour d’Appel ne suspende cette décision, ne peut-on pas parler de pollution mentale ?

Quand Greenpeace fait exploser les émissions de CO2 du monde en se battant contre le nucléaire, parce qu’elle a été en partie financée par l’industrie du gaz, ne peut-on pas parler de pollution mentale, en plus de toute la pollution atmosphérique dont elle est directement responsable ?

Pendant que certains extrémistes s’opposent à tous les projets qui visent à créer de l’emploi dans notre pays, en polluant le mental de tous les Français qui travaillent, les entrepreneurs et le monde réel avancent pour innover et développer des solutions neutres en carbone pour leur modèle économique.

C’est le cas de la publicité numérique qui a divisé par 4 sa consommation énergétique en 20 ans, grâce à des avancées technologiques majeures. C’est le cas de certains acteurs du SNPN qui ont travaillé avec des startups pour développer des écrans capables de capter du carbone, grâce à leur emplacement stratégique à proximité des carrefours à fort passage automobile.

L’extrême gauche parle de la publicité comme d’une « pollution mentale », mais que fait-elle pour l’écologie, à part nous polluer avec ses tribunes pleines de contre-vérités, ses manifestations violentes, et ses dégradations ?

L’écologie des tribunes et de la casse contre l’écologie du réel et de l’innovation. Les premiers parlent de pollution mentale, les seconds, eux, agissent.

Alors bravo aux acteurs (vraiment) engagés !


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